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Est-ce que la photo est une évidence dans le journalisme ? L’appareil photo n’est-il justement pas une barrière ? On peut imaginer que l’objet peut avoir un impact sur le sujet ? Tu aimerais plus faire du processus que du reportage ? Tu as des exemples de reportages ou de photographes connus que tu aimes et qui t’ont inspiré ? Quelle est pour toi l’importance du cadrage ? Quelle est ta position sur l’esthétisation ? Racontez-nous le contexte dans lequel vous êtes parti en Birmanie. Quel est ton rapport à l’argentique ? Comment as-tu vécu ton rapide passage en Birmanie ? Is photography evident in journalism? And thus, isn’t the camera getting in the way? One can imagine that equipment can impact the subject? Would you prefer to work more on the photography process than photo journalism? Can you give us examples of photojournalism works or photographers that you like or that inspired you? How important is framing for you? What is your opinion on aestheticisation? Tell us about the context in which you went to Burma. What is your relationship to film photography? How did you feel about your very short trip in Burma? You will find in this section extra translations for the few texts not translated in the magazine. — English version of the text from Ms Soazig Dollet (Reporter Sans Frontière / Reporters Without Borders) p.51: “Syria – Reporters in the heart of the Syrian hell. David Moxey appris le métier pendant 7 ans en tant que photographe employé d’un quotidien dans le sud de l’Angleterre, il déménage pour Londres en tant que photographe freelance pour des journaux nationaux, magazines et agences pendant 10 ans. Il a travaillé sur des sujets nationaux et internationaux, créé une petite agence et touché un peu au monde de la TV. Ensuite Dave part au Canada en tant que pilote de ligne, changement de carrière. Aujourd’hui il ne peut toujours pas se sortir le besoin de raconter des histoires par le biais de la photographie du système, il compare cela à la malaria: une fois dans le sang c’est pour la vie. Benoit Capponi: Après 20 ans passés dans les métiers l’accompagnement du spectacle vivant, travaille aujourd’hui dans la communication. Son travail photographique se fait pour l’essentiel autour de la notion de temps, de durée. Ses images sont lentement travaillées, avec les moyens techniques les plus divers, mais toujours envisagées comme un artisanat dont la finalité est l’image sur son support matériel, le tirage sur un support physique. Il utilise essentiellement des techniques analogiques, le plus souvent argentiques. [ http://gris18.com/ ] Alasdair Ogilvie a étudié la photographie et le cinéma à la Regent Street Polytechnic de Londres, il a ensuite travaillé comme photographe publicitaire pendant plusieurs années. Il est aujourd’hui réalisateur et photographe. Tom Abrahamsson: Je peux compter sur les doigts de mes mains (en ajoutant quelques orteils) les jours durant les 50 dernières années pendant lesquels je n’ai pas porté avec moi un appareil photo. J’ai fait de la photographie commerciale, de presse, etc… Mais je preferre certainement ce que je fait aujourd’hui; photographie pour le plaisir. Toujours marrié à l’usage du film, j’utilise des procédés numériques pour scanner et diffuser mes photos sur Flickr. — Vancouver, BC, Canada Sean Wood est un photographe Australien, vivant au Japon. Son travail est visible sur [ http://50mm.jp ] After schooling David Moxley spent 7 years as staff newspaper photographer on a local daily newspaper in the south of England. He moved to London as a freelance photographer for national newspapers, magazines and agencies for ten years. He then worked on national and some international news stories, started a small agency and dabbled in TV. Dave moved to Canada for a career change as a commercial pilot. Today he still cannot get telling a story in pictures out of his system. Its like malaria – once it is in the blood one cannot get it out. Benoit Capponi has spend 20 years in life performing arts, he is now working in communication. His photographic project is decicated to the concept of time and duration. His photographs are slowly edited and processed, using various and numerous tools and techniques. Benoit is a real crafstman, the final goal of his work are unique, handmade prints of his photographs. He uses mainly analogue techniques, such as sliver process and prints. [ http://gris18.com/ ] Alasdair Ogilvie studied film and photography at Regent Street Polytechnic, London, then worked as advertising photographer for a number of years. He is now a film-maker as well as photographer. [ http://www.damnable-iron.com ] Tom Abrahamsson: I can count on the fingers of my hands (and possibly a couple of toes) the days I have not carried a camera in the last 50+ years. I have done commercial photography, press photography and all that – but I much prefer that I am doing now; photography for my own pleasure. Still wedded to film – but use digital for scanning and up-loading to Flickr. — Vancouver, BC, Canada Sean Wood is an Australian Photographer living in Japan. More of his worked can be seen at [ http://50mm.jp ] Daniel LECLERCQ – URBANISTE OPQU Urbaniste qualifié, certificat n°4, renouvelé en 2005, de l’Office Professionnel de Qualification des Urbanistes Puis il part à l’Ile de La Réunion comme chef d’agence d’un cabinet de programmation urbaine et architecturale, de 1991 à 1994, ensuite il s’installe à son compte à Limoges où il continue des actions de formation. Daniel Leclercq s’est toujours intéressé de près à l’architecture, à la photo et à la peinture avec 2 maîtres Hartung et Soulages. Désormais il écrit des ouvrages à compte d’auteur dont L’aventure du balnéaire Port-Gruissan de Raymond Gleize et Edouard Hartané architectes. Cet ouvrage de 238 pages très illustré, paru en juin 2013, rencontre un intérêt certain de lecteurs étrangers qui aiment Gruissan cette station balnéaire proche de Narbonne. Il écrit pour la collection Que sais-je ? Les 100 mots de l’urbanisme ou de l’urbaniste.
Interview : Edouard Elias pour BOP analogies #2 - 07/06/2014 - Paris
Je me considère avant tout comme photographe. Je suis venu au journalisme par amour pour la photographie. Pour moi c’est le cadre et l’image d’abord. J’ai donc une démarche de photographe plus que de journaliste. Je suis évidemment intéressé par la géopolitique et l’histoire, mais c’est la photo qui m’intéresse en premier. J’ai été élevé dans un milieu où on parlait d’histoire et de voyages. J’ai évolué là-dedans, là où il y a de l’humain. J’aime les gens, plus que les histoires.
Pour un bon rédacteur, non. Mais pour moi, ça me donne la légitimité d’aller en Syrie par exemple. Avec un appareil, j’ai une bonne raison d’y être. Donner un visage à ce qu’on peut entendre sur ce qu’il se passe là-bas. Montrer comment les gens arrivent à s’en sortir. Se retrouver accepté là-dedans… C’est un travail difficile. Mais c’est aussi ça qui est intéressant.
Prendre une photo c’est prendre quelque chose à quelqu’un. En général, les gens n’aiment pas se faire photographier. On a le sentiment d’être un rapace. C’est vrai que parfois c’est gênant.
Selon l’appareil évidemment. D’ailleurs avec certains reflexs on a l’impression de tenir un fusil. Mon grand-père me faisait faire un peu de tir quand j’étais gamin, quand on tient certains appareils, c’est quasiment la même position. Vous voyez le problème. Avec une chambre, on est obligé de discuter avec la personne, se mettre d’accord. Avec un appareil plus petit, qui fait moins de bruit, c’est une approche différente. Et de fait on peut beaucoup bouger, et c’est important pour moi car je m’incline toujours devant le sujet. Tout ça ce sont des approches différentes.
Oui, j’aimerais travailler à la chambre. J’adore le format. Je ne sais pas si je serais à l’aise d’ailleurs. En général j’aime me faire oublier par les gens, donc se retrouver au milieu de tout le monde avec une chambre… c’est un vrai théâtre de rue. Bon, je ne suis pas encore sûr d’être organisé sur du long terme pour l’instant. Je suis plus tranquille avec un petit appareil et mon instinct. Mais on verra…
Un jour je suis tombé sur les revues de RSF (Reporters Sans Frontières). Ils venaient d’éditer les 100 photos de magnum. Ca été le choc… Koudelka avec ses photos du Printemps de Prague, c’est impressionnant aussi. Mais j’adore aussi Marc Riboud, Natchwey. Eugene Smith. Larry Burrows… Après j’aime aussi Odermatt et Fujimoto…
Il y a deux types de photographes qui partent sur le terrain. Il y a ceux qui vont juste passer juste l’information. Et puis il y a ceux qui se considèrent avant tout comme photographe. Du coup, les masses, la composition, tout ça c’est le cadrage et moi je pense qu’il n’y a que ça… Il y a les bases, mais il faut apprendre à s’en détourner. C’est ce que j’essaie de faire pour mon travail. Mais après le cadre, il y a surtout la lumière. La lumière c’est ce qui m’intéresse le plus… La direction et là d’où elle vient. Par exemple je regarde beaucoup le Caravage. Je trouve ça génial.
Qu’est ce qui marque quand on regarde un film ? La musique est là pour aider une séquence ou une scène. On a l’impression qu’elle est plus esthétique, qu’elle marque plus. Avec une image c’est un peu pareil. Quand elles sont plus travaillées, plus esthétiques, on les reconnaît, elles ont plus d’intérêt. Souvenez-vous de la photo d’Iwo Jima par exemple, on s’en souvient par ce qu’elle est juste bien faite. Les cadrages c’est ce qui est l’essentiel. Quand on est dans la guerre, on fait ce qu’on peut, on prend ce qu’on peut. Mais dans d’autres travaux, il faut aller chercher le travail.
Nous sommes allés faire du reportage en Birmanie sur les sidéens en avril 2013. Parmi les choses que nous avons photographiées, il y avait les cliniques de MSF. Là on est à Rangoon. Certains ont la tuberculose. J’étais très mal à l’aise de rentrer avec mon Nikon D4. Gros machin, pas discret… Donc j’ai pris le M7 en argentique, pour faire un travail plus personnel. Non publiable à priori. Là c’était un sujet différent de la guerre. Avec de gens qui ne veulent pas se faire voir. Je suis donc parti dans la clinique avec cet outil. Ça n’a pas été simple. Déjà la personne qui nous a guidés ne voulait pas vraiment qu’on fasse des photos… Ensuite il fallait que les sujets soient ok. Et puis la lumière !! Que des néons ! Bref, j’étais au F2 constant, au 1/30e, il fallait que je sois stable et avec une unique pelloche ! Il fallait donc réfléchir absolument à ce que je faisais.
Mon rêve c’est d’être né 30 ans plus tôt et de partir en reportage avec un argentique. Avec le numérique on se coupe du sujet : on est constamment en train de regarder son écran, on est pressés parce qu’on doit envoyer les photos sous 48 heures, on retravaille tout le temps sur son ordinateur. Bref, c’est usant. Avec l‘argentique quand on prend une photo, on l’oublie, on n’est pas tout le temps en train d’y penser. Du coup on s’intéresse beaucoup plus au sujet. Si ne je pouvais faire que de l’argentique, je serais heureux ! On me dira « oui mais tu vas galérer, oui mais tu risques de perdre les pelloches, il y a des problèmes avec l’humidité »… ok, mais moi j’aimerais bien retourner à cette époque… Là en Birmanie je n’ai fait que quelques photos, mais je me suis éclaté. En numérique on apprend plus vite, mais l’argentique c’est le top… Avec le numérique, les photographes mitraillent et je trouve ça dommage. Même les anciens photographes qui y allaient doucement à l’époque, je peux te dire aujourd’hui qu’ils multiplient les shoots. Peut-être que Cartier Bresson aurait fait ça aussi. Kozyref il a des cartes de 128 gigas dans son appareil ! Tu vois avec mon numérique, j’aurais fait 150 photos là où j’en fais 4/5 en argentique.
Je suis tellement habitué aux pays arabes… Mais les rues d’Alep, en temps de guerre, c’est dégueulasse. L’Asie, c’est différent. La lumière est chaude. Les murs, les matières… C’est fort. Et à côté de ça, les gens sont aussi plus durs à aborder, ce qui fait que le travail est très différent. Ça donne envie de creuser encore plus. J’y retournerai.
I consider myself first and foremost as a photographer. I went to journalism for the love of photography. For me, framing and the image come first. My approach is one of a photographer more than of a journalist. I am, of course, interested by geopolitics and history but photography interested me first. I was raised in an environment where we talked about history and travels. I grew up in there, where there is humanity. I love people, more than stories.
For a good writer I do not think so. However, for me, it gives me legitimacy to go to Syria for instance. With a camera I have a good reason to be there. To give a face to what we can hear about what is happening over there. To show how people can make it. To become accepted as a part of it… It is a tough job but it is what makes it interesting.
To take a picture is to take something from someone. Usually people do not like their picture to be taken. Sometimes I have the feeling I am a bird of prey. To tell you the truth it bothers me at times.
Yes, according to the the camera of course, holding some SLRs feels like holding a rifle. My grandfather gave me a few shooting lessons as a kid, when one uses some cameras it is almost the same position. You can guess the issue. With a large format camera one is forced to discuss with the photographed person, to be in agreement. With a smaller and quieter camera, the approach is different. As a matter of fact one can move a lot, it is very important for me because I always bend in from of my subject. All that is a matter of different approaches.
Yes. I would like to work with large format cameras. I love the size. However, I do not know if I would feel confident in using it. I usually like to be forgotten by people when taking a picture so to be in the midst of a crowd with a large format camera… It is like street theatre. I am not sure to be well organized in the long term future at the moment. I am more at ease with an inconspicuous camera and my instinct. But time will tell…
One day I got in my hands the RSF (Reporters Without Borders) publications. They just released the one with 100 pictures from the Magnum agency. That was quite the shock… Koudelka and the Spring of Prag, that also made an impression on me. But I also really like Marc Riboud, Natchwey. Eugene Smith. Larry Burrows… Also Odermatt and Fujimoto…
There are two types of photographers who go in the field. Some will just bring pieces of information. And some will consider themselves as photographer above all. So masses, composition, all that is framing and I do think that this is all there is… Of course there are bases but one needs to know how to go around them. That is what I try to do for my work. And then, after framing, it is especially a matter of light. Light is what interests me most… Its direction, where it comes from. For instance I really study Caravaggio, I find it amazing.
What is impacting on us when we watch a movie? Music is there to help a scene or a sequence. We think they are more aesthetic, that they making more of an impression. With an image it is about the same. When they are postprocessed, more aesthetic, we recognise them, they are more interesting.
Think about Iwo Jima’s photograph for instance. We remember it because it is just very well done. Framing, that is what is essential. When one is in a war situation one does what one can, one takes the picture that one can. But in other types of work, we need to go and really work for the images.
We went to Burma in april 2013 to report of AIDS victims. We photographed, amongst other things, MSF (mécecins sans frontières) operated clinics. In Rangoon. Some have tuberculosis. I was very uncomfortable getting in there with my Nikon D4, a very bulky thing, not very discreet… So I took the M7 with film, to do a more personal type of work. A priori unpublishable. It was a topic different from war, with people who do not want to be seen. So I went to the clinic with this tool. It was not easy. First of all the people who guided us did not really wanted us to take pictures… Then the subjects needed to be ok. And then the light! Only neonlight! So, I was using f/2 constantly, at 1/30th of a second. I needed to be stable, and with only one film! I really had to think hard about what I was doing.
My dream is to be born 30 years earlier and to go work in reportage with a film camera. With digital cameras we cut ourselves from the subject: we are constantly looking at our little screens, we are in rush because we have to send the pictures within the next 48 hours, we keep on postprocessing on the computer. In short, it is very tiring. With film, we take a picture and then forget about it, we are not constantly thinking about it. As a result we are much more interested in the subject. If I could only work with film I’d be happy! Yes, people will tell me: “you will have a rough time, you may lose films, there are humidity issues…” ok, but me, I’d like to get back to this era… There in Burma I only shot a few pictures but I had a blast. One can learn very fast using a digital camera but a film camera is the best thing ever… Digital photographers shoot like they would strafe and I think it is a shame. Even photographers from the past who were not shooting too much back then, I can tell you that now they really shoot a lot. Maybe Cartier-Bresson would have done the same. Kozyref has 128G SDcards in his camera! You see, with my digital camera I would have shot 150 pictures when I shot 4 or 5 with the film one.
I am so used to arabic countries… but Alep’s streets during the war, it is very disgusting. Asia is different. The light is very warm. Walls, textures… It is very strong. Besides, people are also harder to connect with which makes for a very different kind of work. It triggers a will to dig deeper. I’ll go back there.
For Reporters Without Borders, Syria is the most dangerous place for journalists to be these days. Whether foreigners or Syrians, these journalists are constantly risking their lives as they continue to follow a conflict that has been ravaging the country for three years now. They are first-choice targets for all belligerents: in the snipers’ hairaline, victims of mortars shots, or important prey for kidnappers.
Since the beginning of the uprising in March 2011, 11 foreign journalists have been killed doing their job. One remembers mortar shells killing Gilles Jacquier while he was reporting in Homs on January 11th, 2012. On February 22nd, 2012, the regular army bombed the Bab Amr’s media centre in Homs, killing Rémi Ochik and Marie Colvin. Japanese journalist Mika Yamamoto was also killed in Alep very soon after her arrival on August 20th, 2012. Olivier Voisin died from his injuries on February 21st, 2013 in the international hospital of Antakya: pieces of shrapnel had hit his head and right arm while he was following the operations of a katiba (brigade) in the Idlib region (Northern Syria). So many lives stopped in flight.
Often working without a visa, most have to illegally cross borders to enter the country. However, even when in possession of a precious sesame, about 30 foreign journalists have been arrested by the regular army or the loyalist forces. Since July 2012, when the first kidnappings occurred, the risks have continued to intensify. Kidnappings increased during the spring of 2013, with the emergence of The Islamic State of Iraq and the Levant (ISIL) in Syria. More than 45 abductions by jihadist groups have been reported. The Syrian terrain is evolving so fast, the involved protagonist’s network so intertwined, that even the most experienced reporters lose their bearing. The most seasoned amongst them use the terms “lotto”, or even “Russian roulette”, when describing Syrian reporting.
Nine foreign journalists are still detained, held as hostages or simply missing…
To read the report (in French) “Le journalisme en Syrie, mission impossible?” (Journalism in Syria, Mission: Impossible?), published in November 2013, follow this link.”
You will find here the whole list with contacts and websites of the photographers who contributed to Photo Analogies #2
[ http://www.damnable-iron.com ]
[ http://www.rapidwinder.com | http://www.flickr.com/photos/rapidwinder/ ]
[ http://www.rapidwinder.com | http://www.flickr.com/photos/rapidwinder/ ]
Conseiller en environnement urbain, programmateur urbain
1996 DESS Marketing territorial touristique, Institut d’Aménagement, Bordeaux 3
1994 Conseiller en Environnement urbain (R.INPI) , Ecole d’Architecture, Paris – La Vilette
1987 DESS Urbanisme, Aménagement et construction de l’espace, Institut d’Aménagement Régional d’ Aix en Provence
De 1968 à 1990 chargé d’études d’urbanisme en structure privée et au ministère de l’équipement où il sera enseignant pendant 5 années à l’Ecole nationale des techniciens de l’Equipement.
En 1997 la municipalité de Brive la Gaillarde (50 000 habitants) lui confie la direction du développement urbain où il réalise avec Alain Sarfati et Hilda Maïtino la Charte Urbaine, la révision d’un POS lié à une zone inondable, le lancement d’une ZPPAUP et autres études structurantes.
Il termine sa carrière professionnelle à Argenteuil (100 000 habitants comme directeur de l’aménagement.
In addition to the UK, the United States, Austria and India, Kevin Spenst’s writing has appeared in over a dozen Canadian literary publications such as Freefall, Prairie Fire, CV2, Dandelion, filling Station, qwerty, and Poetry is Dead. His work has been shortlisted for the Robert Kroetsch Award for Innovative Poetry and his manuscript Ignite has come in as a finalist for the Alfred G. Bailey Prize. In 2011, he won the Lush Triumphant Award for Poetry. In 2014 he is going to do a 100-venue reading tour across Canada with his chapbooks Pray Goodbye (the Alfred Gustav Press, 2013), Retractable (the serif of nottingham, 2013), Happy Hollow and the Surrey Suite (self-published, 2012) and What the Frag Meant (100 tetes press, 2014. In the Spring of 2014, he will have a collection of beer-coaster sonnets out with JackPine press.